La lutte gréco-romaine est un sport de combat qui oppose deux compétiteurs masculins cherchant à obtenir le contrôle de leur adversaire par le biais de techniques de projection, d'accorchage et de clés. Seul le haut du corps peut être utilisé dans l'exécution de toutes les prises dont le but ultime est d'amener les épaules de l'adversaire au tapis. Si un lutteur y parvient, le match est interrompu et la victoire "par tombé" est prononcée. Sinon, le match se poursuit jusqu'à la fin du temps réglementaire et les points marqués servent à désigner le vainqueur.
La lutte a été introduite aux Jeux Olympiques de l'Antiquité en 708 av. J-C.
A l'exception des Jeux Olympiques de Paris en 1900, la lutte gréco-romaine a figuré au programme de tous les Jeux Olympiques de l'ère moderne depuis son introduction en 1896.
La lutte libre est un sport de combat qui oppose deux compétiteurs cherchant à obtenir le contrôle de leur adversaire par le biais de techniques de projection, d'accorchage, de crocs en jambes et de clés. Contrairement à la lutte gréco-romaine où seul le haut du corps peut être saisi, la lutte libre permet la saisie des jambes dans l'exécution de toutes les prises dont le but ultime est d'amener les épaules de l'adversaire au tapis. Si un lutteur y parvient, le match est interrompu et la victoire "par tombé" est prononcée. Sinon, le match se poursuit jusqu'à la fin du temps réglementaire et les points marqués servent à désigner le vainqueur.
La lutte a été introduite aux Jeux Olympiques de l'Antiquité en 708 av. J-C.
A l'exception des Jeux Olympiques de Stockholm en 1912, la lutte libre a figuré au programme de tous les Jeux Olympiques de l'ère moderne depuis son introduction en 1904.
La lutte féminine est un sport de combat qui oppose deux compétitrices cherchant à obtenir le contrôle de leur adversaire par le biais de techniques de projection, d'accorchage, de crocs en jambes et de clés. Similaire à la lutte libre, la lutte féminine permet la saisie des jambes dans l'exécution de toutes les prises dont le but ultime est d'amener les épaules de l'adversaire au tapis. Si une lutteuse y parvient, le match est interrompu et la victoire "par tombé" est prononcée. Sinon, le match se poursuit jusqu'à la fin du temps réglementaire et les points marqués servent à désigner la gagnante.
La lutte féminine a été introduite au programme des Jeux Olympiques d'Athènes en 2004 avec 4 catégories de poids.
Au-delà de la compétition individuelle, le pankration inclue également deux formes de combat chorégraphiés appelés Palaismata et Polydamas. Le palaismata est une démonstration en couple visant à évaluer les connaissances des athlètes et le polydamas est une démonstration entre 1 défenseur et 3 attaquants armés visant à simuler une situation dangereuse de laquelle l'athlète doit se sortir victorieux. Le pankration est une forme efficace d'autodéfense et peut servir d'excellente préparation aux forces de police ou de sécurité.
En 2010, le pankration a été introduit au programme des World Combat Games organisés par SportAccord avec 3 catégories masculines.
Les combats de lutte à la ceinture Alysh se déroulent sur une période de 5 minutes pour les hommes et de 4 minutes pour les femmes. Les compétiteurs sont revêtus de pantalons blancs et d'une veste bleue ou verte maintenue solidement par une ceinture souple de couleur rouge. Tout en se tenant par la ceinture, ils doivent tenter de projeter leur adversaire au sol. Les points techniques sont accordés en fonction de l'amplitude des prises: 1 point si l'adversaire atterrit sur les genoux ou sur les fesses, 2 points s'il atterrit sur le côté ou sur la hanche et 6 points s'il atterrit sur le dos. Le premier compétiteur qui marque 6 points remporte le match. Les règles adoptées sont volontairement simples afin de permettre à toutes les variétés nationales de lutte à la ceinture de pouvoir s'exprimer dans une forme générique de la discipline. Brochure de présentation